HALIFAX, le 9
mai 2013 /CNW/ - Chorus Aviation Inc.
(« Chorus ») (TSX: CHR.B CHR.A CHR.DB) a
publié aujourd'hui ses résultats du premier trimestre 2013 et modifie son dividende trimestriel
de 0,15 $ par action de Chorus pour l'établir
à 0,075 $ par action.
FAITS SAILLANTS DU PREMIER TRIMESTRE
DE 2013
- Produits opérationnels de 416,3 millions de dollars.
- BAIIA1 de 34,2 millions de dollars.
- Résultat opérationnel de 20,8 millions de dollars.
- Résultat net de 9,2 millions de dollars ou 0,07 $ par
action de base.
- Résultat net ajusté1 de 14,7 millions de
dollars ou 0,12 $ par action de base.
- Heures cale à cale facturables : 97 202.
« De solides résultats ont été générés au
premier trimestre. Cependant, deux facteurs ont eu une incidence
négative sur le résultat net », a déclaré Joseph Randell, président et chef de la
direction de Chorus. « Dans un souci constant
d'amélioration de notre efficacité opérationnelle et de réduction
de nos coûts, nous avons offert à nos pilotes et employés de la
Maintenance ayant plus d'ancienneté la possibilité de se prévaloir
d'un programme de départ volontaire. Le coût des indemnités de
départ de 5,7 millions de dollars deviendra rentable dans les
deux prochaines années au fur et à mesure que les coûts
d'exploitation permanents seront réduits. Cette charge, si elle est
pondérée par une perte de change latente de 5,6 millions de
dollars dans le résultat net ajusté pour le trimestre, augmente le
bénéfice par action de base à 0,17 $ selon le consensus actuel
du marché. »
DIVIDENDE
Chorus et Air Canada participent à un processus
d'arbitrage complexe concernant la comparaison de 2009. Chorus
demeure confiante dans sa position selon laquelle le taux de
majoration des coûts contrôlables de 12,5 % prévu dans le
contrat d'achat de capacité (le « CAC ») ne devrait
pas changer en raison de l'arbitrage. Par conséquent, aucune somme
n'a été inscrite dans les comptes de Chorus en 2010, 2011,
2012 et 2013 concernant la
réclamation d'Air Canada. La direction a estimé qu'il est
improbable que la réclamation d'Air Canada soit accordée, et il est
difficile de fixer une estimation des effets financiers possibles,
le cas échéant, avec suffisamment de précision.
Toutefois, comme dans tout litige, il y a
toujours un risque de dénouement défavorable. Ce risque, associé à
la longue durée de l'arbitrage, a créé le risque de versement
rétroactif d'une importante somme à Air Canada pour la période qui
commence le 1er janvier 2010 si Air Canada
devait avoir gain de cause dans sa réclamation de rajustement
important de l'âge de la flotte. Plus le processus se poursuit sans
qu'un règlement ne survienne, plus important devient le versement
rétroactif potentiel.
De plus, les débentures convertibles de Chorus
d'un capital de 80,2 millions de dollars viennent à
échéance en 2014. Chorus prévoit qu'une hausse des liquidités
procurera une souplesse accrue permettant de respecter l'échéance
de ces débentures dans le contexte d'une conjoncture difficile pour
le secteur des lignes aériennes et d'incertitude touchant la
conjoncture économique mondiale. Ces débentures, émises en novembre
2009, ont servi à régler une partie de la dette à terme
de 115, 0 millions de dollars qui a été contractée au
moment du premier appel public à l'épargne de Chorus en
2006 et qui est venue à échéance en
février 2010. Par conséquent, Chorus est d'avis que la
solidification de sa situation de trésorerie au cours de cette
période est prudente.
Chorus continuera à gérer ses ratios
d'endettement, comme son ratio des emprunts nets ajustés par
rapport aux capitaux propres, qui a augmenté en raison du
financement de sa nouvelle flotte d'appareils Q400. Un
investissement de la sorte dans le renouvellement de la flotte
permettant d'augmenter la valeur peut prendre la forme de la remise
à neuf des appareils classiques des séries Dash 8-100 et
Dash 8-300 ou de nouveaux investissements dans des appareils
de nouvelle génération.
Compte tenu de ces facteurs, Chorus a fait
passer son dividende trimestriel de 0,15 $ par action à
0,075 $ par action dorénavant. Cette mesure permettra à Chorus
de conserver des liquidités additionnelles de 9,3 millions de
dollars par trimestre.
Bien que Chorus dispose des liquidités
nécessaires pour verser le dividende au taux précédent, le conseil
d'administration a établi que, compte tenu des facteurs décrits
ci-dessus, il est prudent et souhaitable de conserver les
ressources financières de Chorus.
« Nous disposons de ressources financières
que nous continuons de gérer de façon prudente, a poursuivi
M. Randell. Le secteur des lignes aériennes régionales évolue
drastiquement, aussi bien ici qu'au sud de la frontière. La
concurrence s'accroît à grande vitesse. Nous devons poursuivre nos
efforts de réduction de coûts, de solidification des éléments
fondamentaux de nos activités et d'amélioration de notre situation
financière afin de s'assurer que nous disposions de la souplesse
nécessaire pour répondre efficacement à la concurrence dans nos
marchés en constante évolution. »
Le conseil d'administration continuera d'évaluer
le versement de dividende de façon continue.
Performance financière - Comparaison des
premiers trimestres des exercices 2013
et 2012
Les produits opérationnels ont diminué, passant
de 437,1 millions de dollars à 416,3 millions de dollars,
ce qui représente une baisse de 20,8 millions de dollars ou
4,8 %. Les produits opérationnels liés aux passagers,
exception faite des coûts refacturés, ont reculé de
6,4 millions de dollars ou 2,5 % en raison principalement
de l'absence d'activité pour le compte de Thomas Cook pendant le trimestre; la baisse a
été compensée par des hausses de taux effectuées conformément au
CAC conclu avec Air Canada, une augmentation des heures cale à
cale facturables de 0,8 %, une hausse de 0,2 million de
dollars des paiements incitatifs gagnés en vertu du CAC et une
appréciation du dollar américain. Les coûts refacturés ont diminué,
passant de 176,7 millions de dollars à 162,0 millions de
dollars, soit une baisse de 14,7 millions de dollars ou
8,3 %, qui comprenait une réduction de 1,8 million de
dollars liée aux coûts du carburant. Les autres produits ont
augmenté de 0,2 million de dollars.
Les charges opérationnelles ont diminué passant
de 407,4 millions de dollars à 395,5 millions de dollars,
soit une baisse de 12,0 millions de dollars ou 2,9 %. Les
coûts contrôlables ont augmenté de 2,7 millions de dollars ou
1,2 %, une hausse compensée par une baisse de
14,7 millions de dollars des coûts refacturés.
Les traitements, les salaires et les avantages
du personnel ont augmenté de 3,1 millions de dollars, ce qui
est attribuable principalement aux coûts d'indemnisation de départ
volontaire d'employés de maintenance et de membres d'équipage, aux
augmentations des salaires et des échelles de rémunération en vertu
des nouvelles conventions collectives et à l'augmentation des
charges de retraite découlant de la révision de l'évaluation
actuarielle, hausses contrebalancées par une réduction du nombre
d'employés équivalents plein temps et par une capitalisation plus
élevée des salaires et avantages du personnel reliés aux travaux de
révision générale.
La charge d'amortissement a augmenté de
0,5 million de dollars, principalement en raison de l'achat
d'appareils Q400, l'augmentation des dépenses en immobilisations
liées aux pièces durables et autres équipements et l'augmentation
des travaux de révision générale, ces éléments ayant été
contrebalancés par certains actifs qui sont maintenant entièrement
amortis et par une modification de l'estimation liée à la valeur
résiduelle des appareils Dash 8-100 et 300.
Les dépenses de maintenance des appareils ont
diminué de 2,4 millions de dollars en raison d'une réduction
de 4,6 millions de dollars liée à l'absence d'activité pour le
compte de Thomas Cook, réduction
contrebalancée par une hausse des travaux de maintenance des
moteurs attribuable à des charges liées aux moteurs pour les
appareils CRJ705 et Dash 8-300 de 1,2 million de dollars, une
hausse d'autres coûts de maintenance de 0,5 million de dollars
et l'incidence d'une appréciation du dollar américain sur certains
achats de matériel de 0,5 million de dollars.
Les frais de location d'appareils ont reculé de
5,4 millions de dollars, en raison surtout de l'absence de
charges pendant le trimestre pour les appareils de Thomas Cook et de l'incidence de la restitution
des appareils CRJ.
Les autres charges ont augmenté de
1,3 million de dollars, en raison surtout de la hausse des
honoraires professionnels, des frais de formation et de voyage
accrus associés aux appareils Q400 et de la hausse des frais
généraux.
Les charges non opérationnelles ont augmenté de
9,0 millions de dollars. Cette variation est principalement
attribuable à un gain de change de 8,8 millions de dollars
(dont une tranche de 8,9 millions de dollars est liée à une
hausse de la perte de change latente sur la dette à long terme et
les contrats de location-financement) ainsi qu'à des charges
d'intérêt accrues de 1,0 million de dollars liées au
financement des appareils Q400, élément contrebalancé par d'autres
produits de 0,8 million de dollars liés à une subvention du
gouvernement.
Le BAIIA1 s'est élevé à
34,2 millions de dollars, comparativement à 42,6 millions de
dollars en 2012, une baisse de 8,4 millions de dollars ou
19,6 %, produisant une marge du BAIIA de 8,2 %. Les flux
de trésorerie disponibles normalisés se sont établis à un montant
négatif de 110,9 millions de dollars, principalement en
raison de l'augmentation des dépenses en immobilisations liées
l'achat d'appareils Q400.
Le résultat opérationnel de 20,8 millions
de dollars est en baisse de 8,8 millions de dollars ou
29,7 % par rapport à 29,6 millions de dollars au premier
trimestre de 2012.
Pour le premier trimestre de 2013, le résultat
net a atteint 9,2 millions de dollars ou 0,07 $ par
action de base, une baisse de 17,0 millions de dollars ou
64,9 % par rapport à 26,2 millions de dollars ou
0,21 $ par action de base. Sur une base ajustée, le résultat
net s'est établi à 14,7 millions de dollars ou 0,12 $ par
action de base, une baisse de 35,4 % ou 0,06 $ par action
de base, comparativement à 22,8 millions de dollars
ou 0,18 $ par action de base.
Les états financiers intermédiaires consolidés
condensés non audités de Chorus Aviation Inc. pour la période
terminée le 31 mars 2013 et le
rapport de gestion connexe sont accessibles à www.chorusaviation.ca
et à www.sedar.com. On peut aussi obtenir un exemplaire de ces
documents en écrivant au service des relations avec les
investisseurs, à investorsinfo@chorusaviation.ca, ou en composant
le 902 873-5094.
Conférence téléphonique et diffusion Web
audio à l'intention des investisseurs
Chorus tiendra une conférence téléphonique à
11 h, HE, le vendredi 10 mai 2013, afin d'analyser les
résultats du premier trimestre 2013. On peut participer à la
conférence en composant le 1 888 231-8191. La conférence
sera diffusée simultanément sur le Web, en mode audio à
l'adresse : www.newswire.ca/fr/webcast/detail/1097399/1195627
et elle sera également accessible dans la section des relations
avec les investisseurs à www.chorusaviation.ca. Il s'agit d'une
diffusion Web en mode audio seulement. Le lecteur Media Player ou
Real Player est nécessaire pour écouter la diffusion audio;
veuillez donc le télécharger bien avant la conférence.
La conférence téléphonique diffusée sur le Web
sera archivée sur le site des relations avec les investisseurs de
Chorus, à l'adresse www.chorusaviation.ca. On pourra également
l'écouter en différé jusqu'à minuit, HE, le 17 mai 2013, en
composant le 416 849-0833, ou le 1 855 859-2056
(sans frais), et en entrant le code d'accès 34548114, suivi de la
touche marquée d'un carré.
1 Mesures financières non
conformes aux PCGR
BAIIA
Le BAIIA (bénéfice avant intérêts, impôts, amortissements et
obsolescence) est une mesure financière non reconnue par les PCGR
qui est couramment utilisée dans tous les secteurs pour donner un
aperçu des résultats opérationnels avant les charges d'intérêts, le
produit d'intérêts, l'amortissement, les profits et pertes sur les
immobilisations et les autres produits et charges non
opérationnels. La direction est d'avis que le BAIIA aide les
investisseurs à comparer les résultats de Chorus sur une base
constante sans égard à l'amortissement qui est un élément hors
caisse et qui peut varier sensiblement selon les méthodes
comptables et les facteurs non opérationnels tels que le coût
historique. Le BAIIA ne devrait pas être utilisé comme mesure
exclusive des flux de trésorerie, car il ne tient pas compte de
l'incidence de la croissance du fonds de roulement, des dépenses en
immobilisations, du remboursement de la dette et d'autres entrées
et sorties de fonds, qui figurent dans l'état des flux de
trésorerie faisant partie des états financiers.
FLUX DE TRÉSORERIE DISPONIBLES NORMALISÉS
Les flux de trésorerie disponibles normalisés sont définis comme
les flux de trésorerie disponibles tirés des activités
opérationnelles, présentés selon les PCGR, moins le total des
dépenses en immobilisations et les dividendes.
RÉSULTAT NET AJUSTÉ
Le résultat net ajusté et le résultat ajusté par action sont
calculés en ajustant le résultat net en fonction du montant des
profits et des pertes de change latents sur la dette à long terme
et les contrats de location-financement. Pour le premier trimestre
de 2013, Chorus a enregistré une perte de change latente de
5,6 millions de dollars sur la dette à long terme et sur les
contrats de location-financement. Ces ajustements montrent plus
clairement le résultat d'un point de vue opérationnel.
Mise en garde concernant les énoncés
prospectifs
Le présent communiqué doit être lu parallèlement
aux états financiers intermédiaires consolidés non audités de
Chorus pour la période terminée le 31 mars 2013 ainsi qu'au
rapport de gestion daté du 9 mai 2013; ces documents ont
été déposés auprès des organismes canadiens de réglementation des
valeurs mobilières (on peut les consulter à l'adresse
www.sedar.com).
Le présent communiqué peut comporter certaines
déclarations qui sont de nature prospective. Ces énoncés
prospectifs se reconnaissent à l'emploi de termes ou d'expressions
comme « prévoit », « croit »,
« pourrait », « estime », « s'attend
à », « a l'intention de », « peut »,
« planifie », « prédit »,
« projette », « devrait »,
« suppose » et autres, ce qui comprend les allusions aux
hypothèses. Ces énoncés peuvent, entre autres, porter sur des
observations concernant des stratégies, des attentes, des activités
planifiées ou des actions à venir.
Les énoncés prospectifs concernent des analyses
et d'autres informations qui sont fondées sur des prévisions de
résultats futurs, des estimations de montants ne pouvant être
établis dans l'immédiat et d'autres événements incertains. Par
nature, les énoncés prospectifs reposent sur des hypothèses, dont
celles décrites ci-dessous, et ils sont sujets à des risques et
incertitudes importants. Aucune prévision ou projection n'est donc
entièrement fiable en raison, notamment, de l'évolution des
circonstances externes et de l'incertitude générale inhérentes au
secteur. Ces énoncés mettent en jeu des risques connus et inconnus,
des incertitudes et d'autres facteurs susceptibles de faire
différer sensiblement les résultats, le rendement ou les
réalisations réels de ceux qui sont exposés dans les énoncés
prospectifs. Les résultats présentés dans les énoncés prospectifs
peuvent différer sensiblement des résultats réels en raison de
divers facteurs, ce qui comprend, mais sans s'y limiter, les
risques liés aux relations de Chorus avec Air Canada, les risques
liés au secteur du transport aérien, les prix de l'énergie, les
conditions du secteur, du marché, du crédit et de l'économie en
général, la concurrence, les questions et coûts d'assurances, les
questions d'approvisionnement, les conflits armés, les attentats
terroristes, les épidémies, les catastrophes naturelles, les
fluctuations de la demande dues au caractère saisonnier des
activités, la capacité de réduire les charges opérationnelles et
les effectifs, la capacité d'obtenir du financement, les relations
de travail, les négociations collectives ou les conflits de
travail, les restructurations, les enjeux en matière de retraite,
les taux de change et d'intérêt, les clauses restrictives en
matière d'emprunt et de restructuration liées aux dettes futures,
la dilution des actionnaires de Chorus, l'incertitude entourant les
versements de dividendes, la gestion de la croissance, l'évolution
de la législation, les faits nouveaux ou procédures réglementaires
défavorables de même que les litiges ou les poursuites en cours ou
futurs intentées par des tiers. Les énoncés prospectifs contenus
dans le présent document représentent les attentes de Chorus en
date du 9 mai 2013 et pourraient
changer après cette date. Chorus décline toutefois toute intention
ou obligation d'actualiser ou de réviser ces énoncés prospectifs à
la lumière de nouveaux éléments d'information, d'événements futurs
ou pour quelque autre motif que ce soit, sauf dans la mesure où les
lois sur les valeurs mobilières applicables l'exigent.
Chorus Aviation Inc.
Chorus Aviation Inc. (« Chorus »), qui
a été constituée en société le 27 septembre 2010, est une société de portefeuille versant des
dividendes. Elle est propriétaire de Jazz Aviation S.E.C. et
de Chorus Leasing III Inc.
Les titres de Chorus sont négociés à la Bourse
de Toronto sous les symboles
CHR.A, CHR.B et CHR.DB.
Pour en savoir plus, consultez
www.chorusaviation.ca
Jazz Aviation S.E.C.
Jazz Aviation S.E.C. est bien implantée
dans l'industrie canadienne de l'aviation, ses origines remontant
aux années 1930. Jazz est la propriété exclusive de Chorus
Aviation Inc. et continue d'afficher des résultats financiers
et opérationnels qui figurent parmi les meilleurs du secteur du
transport aérien en Amérique du Nord.
Jazz Aviation S.E.C. exerce ses activités
par l'intermédiaire de deux divisions de transport
aérien : Air Canada Express et Jazz.
Air Canada Express : En vertu d'un contrat
d'achat de capacité conclu avec Air Canada, Jazz dessert des
marchés à faible trafic ainsi que des marchés à trafic élevé
pendant les périodes hors pointe dans tout le Canada et certaines villes des États-Unis. Au
premier trimestre de 2013, Jazz a exploité pour
Air Canada un service
régulier de transport de passagers qui prévoyait environ
789 départs chaque jour de la semaine à destination de
82 villes du Canada et des
États-Unis à l'aide d'un parc aérien composé d'avions fabriqués au
Canada par Bombardier.
Jazz : Sous la marque Jazz, la société
aérienne assure des vols nolisés à l'échelle de l'Amérique du Nord
au moyen d'un parc aérien composé de cinq appareils de Bombardier.
Ces services s'adressent aux entreprises, aux organismes
gouvernementaux, aux groupes d'intérêts particuliers et aux
personnes qui recherchent plus de commodité. Jazz peut aussi offrir
divers services aux exploitants de sociétés aériennes :
services au sol, régulation des vols, planification de la charge
marchande, formation et services-conseils.
Pour obtenir plus d'information, veuillez
consulter le site www.voljazz.ca.
SOURCE CHORUS AVIATION INC.