Le résultat net ajusté annuel par action augmente à
0,77 $
Rentabilité trimestrielle constante depuis 2006
HALIFAX, le 20
févr. 2013 /CNW/ - Chorus Aviation Inc.
(« Chorus ») (TSX: CHR.B CHR.A CHR.DB) a
annoncé aujourd'hui ses résultats du quatrième trimestre et de
l'exercice 2012. Les faits saillants sont décrits
ci-dessous.
FAITS SAILLANTS DU T4 2012
- Produits opérationnels de 411,7 M$.
- Flux de trésorerie disponibles1 de 30,3 M$, ou
0,24 $ par action de base.
- Résultat opérationnel de 25,4 M$.
- Résultat net de 14,7 M$ ou 0,12 $ par action de
base.
- Résultat net ajusté1 de 17,9 M$, ou 0,14 $
par action de base.
- Heures cale à cale facturables de 97 249.
FAITS SAILLANTS DE
L'EXERCICE 2012
- Produits opérationnels de 1 710,7 M$.
- Flux de trésorerie disponibles1 de 139,8 M$, ou
1,13 $ par action de base.
- Résultat opérationnel de 128,6 M$.
- Résultat net de 101,1 M$ ou 0,81 $ par action de
base.
- Résultat net ajusté1 de 95,5 M$, ou 0,77 $
par action de base.
- Heures cale à cale facturables de 404 101.
« Je suis satisfait de notre performance
financière et opérationnelle du quatrième trimestre et de
l'exercice, a affirmé Joseph
Randell, président et chef de la direction de Chorus. La
hausse de notre résultat opérationnel de 26,6 M$ est
attribuable à la marge opérationnelle de nos activités de location
des appareils Q400, à l'indemnité de résiliation non
récurrente versée par Thomas Cook et aux paiements incitatifs
gagnés en vertu du contrat d'achat de capacité (« CAC »).
L'attention soutenue que nous portons à la sécurité et à
l'excellence opérationnelle a donné lieu à une augmentation de
4,4 M$ des paiements incitatifs liés au rendement en 2012 par
rapport à 2011 alors que nous avons constamment maintenu le niveau
de ponctualité le plus élevé parmi les principaux transporteurs
canadiens. C'est une remarquable réussite si on considère que nous
assurons le plus grand nombre de vols quotidiens au Canada et que nous desservons plus de
destinations canadiennes que tout autre transporteur. Je félicite
nos employés pour leur travail exceptionnel et leur extraordinaire
dévouement. »
« La résolution de l'arbitrage de la
question de la comparaison avec Air Canada a malheureusement été de nouveau
retardée, a poursuivi M. Randell. Bien qu'il n'y ait aucune
certitude quant à l'issue du processus, nous demeurons confiants au
sujet de notre position et nous continuons de travailler en vue de
parvenir à une conclusion satisfaisante par rapport aux points
encore en litige. Entre-temps, nous nous préparons pour l'avenir en
nous concentrant sur les impératifs de la compétitivité des coûts
tout en consolidant nos assises. Cela nous permettra de soutenir
une organisation forte. »
Performance financière - Comparaison des
quatrièmes trimestres des exercices 2012
et 2011
Les produits opérationnels ont augmenté, passant
de 407,7 M$ à 411,7 M$, ce qui représente une hausse de
4,0 M$, ou 1,0 %. Les produits opérationnels liés aux
passagers, exception faite des coûts refacturés, ont progressé de
4,9 M$, ou 2,0 %, en raison principalement d'une hausse
des heures cale à cale facturables, des hausses de taux effectuées
conformément au CAC conclu avec Air Canada, de produits accrus liés à un nouveau
contrat d'entretien des moteurs pour les appareils Q400 de
5,5 M$, et d'une augmentation de 0,1 M$ des paiements
incitatifs gagnés en vertu du CAC ; ces hausses sont
contrebalancées par une dépréciation du dollar américain et par
l'absence d'activité pendant le trimestre pour le compte de
Thomas Cook. Les coûts refacturés ont diminué, passant de
158,4 M$ à 157,4 M$, une baisse de 1,0 M$, ou
0,7 %, qui comprenait une hausse de 1,8 M$ liée aux coûts
du carburant. Les autres produits ont augmenté de 0,1 M$.
Les charges opérationnelles sont passées de
382,4 M$ à 386,3 M$, soit une augmentation de
3,8 M$, ou 1,0 %. Les coûts contrôlables ont augmenté de
4,9 M$, ou 2,2 %, une augmentation contrebalancée par une
baisse de 1,0 M$ des coûts refacturés.
La charge d'amortissement a augmenté de
2,1 M$, en lien principalement avec l'achat
d'appareils Q400, le reste étant imputable à l'augmentation
des dépenses en immobilisations liées aux pièces durables et autres
équipements, éléments ayant été compensés par une diminution des
travaux de maintenance et de révision importants et certains actifs
qui sont maintenant entièrement amortis.
Les dépenses de maintenance des appareils ont
augmenté de 7,9 M$ en raison de la hausse de 0,6 M$ des
coûts liés au nombre accru d'heures cale à cale, du coût accru de
la maintenance dans le cadre d'un nouveau contrat de maintenance de
5,5 M$ pour les appareils Q400, du coût accru de la révision
des moteurs sur des avions affrétés de 1,2 M$, d'un ajustement
de stocks de 1,6 M$ et d'une hausse d'autres coûts de
maintenance de 1,9 M$; ces éléments ont été contrebalancés par
une baisse des travaux de maintenance des moteurs attribuable à des
charges liées aux moteurs pour les appareils CRJ de 1,8 M$ et
à l'incidence d'une dépréciation du dollar américain sur certains
achats de matériel de 1,1 M$.
Les frais de location d'appareils ont reculé de
4,4 M$ en raison surtout de l'absence de charges au quatrième
trimestre pour les appareils de Thomas Cook, de l'incidence de
la restitution des appareils CRJ de 2,1 M$ et de l'incidence
de la dépréciation du dollar américain de 0,9 M$.
Les salaires et avantages du personnel ont
baissé de 2,1 M$, ce qui est attribuable principalement à une
réduction du nombre d'employés équivalents plein temps; la baisse a
été contrebalancée par des hausses des salaires et des échelles de
rémunération en vertu des nouvelles conventions collectives, par
l'accroissement des charges liées au régime de rémunération
incitative, des charges de retraite découlant de la révision de
l'évaluation actuarielle et par une capitalisation moindre des
salaires et avantages du personnel reliés aux travaux de
maintenance et de révision importants.
Les autres charges ont diminué de 0,7 M$ en
raison surtout de la baisse des frais généraux et des honoraires
professionnels.
Les charges non opérationnelles ont augmenté de
10,2 M$. Cette variation est principalement attribuable à une
perte de change de 3,8 M$ (dont une tranche de 3,3 M$ est
liée à une perte de change latente sur la dette à long terme et sur
les contrats de location financement) découlant de la variation de
la valeur du dollar canadien par rapport au dollar américain et de
la hausse de 1,0 M$ des charges d'intérêts liées au
financement des appareils Q400.
Le BAIIA1 s'est élevé à 40,2 M$,
comparativement à 38,0 M$ en 2011, une hausse de 2,2 M$,
ou 5,9 %, générant une marge du BAIIA de 9,8 %. Les flux
de trésorerie disponibles se sont établis à 30,3 M$, une
hausse de 1,0 M$ ou de 3,3 % par rapport à
29,4 M$.
Le résultat opérationnel de 25,4 M$ pour le
trimestre clos le 31 décembre 2012 était en hausse de
0,1 M$ ou 0,4 % par rapport à 25,3 M$ au quatrième
trimestre de 2011.
Le résultat net a atteint 14,7 M$, ou
0,12 $ par action de base, pour le quatrième trimestre de
2012, par rapport à 22,7 M$, ou 0,18 $ par action de
base, soit une baisse de 8,0 M$, ou 35,3 %. Sur une base
ajustée, le résultat net s'est établi à 17,9 M$, ou
0,14 $ par action de base, par rapport à 19,6 M$, ou
0,16 $ par action de base, soit une baisse de 8,3 %, ou
0,02 $ par action de base.
Performance financière - Comparaison des
exercices 2012 et 2011
Les produits opérationnels ont augmenté, passant
de 1 664,5 M$ à 1 710,7 M$, ce qui représente
une hausse de 46,2 M$, ou 2,8 %. Les produits
opérationnels liés aux passagers, exception faite des coûts
refacturés, ont progressé de 56,8 M$, ou 5,8 %, en raison
principalement de l'indemnité de 9,0 M$ liée à la résiliation
hâtive de l'entente de services aériens avec Thomas Cook,
d'une hausse de 0,7 % des heures cale à cale facturables, des
hausses de taux effectuées conformément au CAC conclu avec
Air Canada, de l'appréciation
du dollar américain et d'une augmentation de 4,4 M$ des
paiements incitatifs gagnés au titre du CAC. Les coûts refacturés
sont passés de 670,6 M$ à 659,3 M$, soit une baisse de
11,3 M$, ou 1,7 %, dont un montant de 14,6 M$ lié au
carburant. Les autres produits ont augmenté de 0,7 M$.
Les charges opérationnelles sont passées de
1 562,5 M$ à 1 582,1 M$, soit une augmentation
de 19,6 M$, ou 1,3 %. Les coûts contrôlables ont augmenté
de 30,9 M$, ou 3,5 %, une augmentation contrebalancée par
une baisse de 11,3 M$ des coûts refacturés.
Les charges non opérationnelles ont baissé de
4,1 M$. Cette variation est attribuable principalement à un
gain de change de 5,9 M$ (dont un montant de 5,6 M$ est
lié à un gain de change latent sur la dette à long terme et sur des
contrats de location financement) résultant de la variation de la
valeur du dollar canadien par rapport au dollar américain, gain
contrebalancé par des charges d'intérêts en hausse liées au
financement des appareils Q400 de 6,6 M$.
Le BAIIA1 s'est élevé à
185,3 M$, comparativement à 146,1 M$ en 2011, une hausse
de 39,3 M$, ou 26,9 %, générant une marge du BAIIA de
10,8 %. Les flux de trésorerie disponibles se sont établis à
139,8 M$, une hausse de 33,0 M$ ou de 30,9 % par
rapport à 106,8 M$.
Le résultat opérationnel de 128,6 M$ pour
l'exercice clos le 31 décembre 2012 était en hausse de
26,6 M$, ou 26,1 %, par rapport à 101,9 M$ pour
l'exercice 2011.
Le résultat net a atteint 101,1 M$, ou
0,81 $ par action de base, pour l'exercice 2012, par rapport à
68,1 M$, ou 0,55 $ par action de base, soit une
progression de 33,0 M$, ou 48,4 %. Sur une base ajustée,
le résultat net s'est établi à 95,5 M$, ou 0,77 $ par
action de base, par rapport à 71,7 M$, ou 0,58 $ par
action, soit une hausse de 23,8 M$, ou 33,3 %.
Arbitrage de la question de la
comparaison (se reporter à la Section 14
« Economic Dependence » et à la Section 19
« Risks Relating to Current Legal Proceedings » du
rapport de gestion de 2012 de Chorus pour obtenir de plus
amples renseignements)
Comme il a été annoncé les
2 et 3 octobre 2012, le groupe d'arbitrage (le
« groupe ») a rendu sa décision (la
« décision ») au sujet de la comparaison de 2009 entre
Jazz Aviation S.E.C. (« Jazz ») (filiale en
propriété exclusive de Chorus) et Air Canada.
Dans la décision, deux des trois arbitres ont
conclu que la méthode fondée sur la composante d'inducteur de coûts
unitaires (« CICU ») proposée par Air Canada était la méthode appropriée aux fins de
la comparaison de 2009 des coûts unitaires de Chorus par rapport à
la médiane des coûts unitaires contrôlables, rajustée en fonction
de la distance cale à cale, du groupe d'exploitants comparables.
Toutefois, les arbitres ont également convenu avec Chorus que
certains des rajustements additionnels proposés par Chorus étaient
également nécessaires (les « rajustements »), mais n'ont
pas fourni de lignes directrices pour le calcul de ces
rajustements. Les arbitres ont par ailleurs convenu avec Chorus que
l'âge du parc aérien a une incidence sur le taux d'augmentation des
coûts associés à la maintenance. Cependant, les arbitres n'ont pas
précisé de méthodologie pour calculer le rajustement lié à l'âge du
parc aérien et ont enjoint Air Canada et Chorus de négocier un rajustement
qui tiendrait compte de l'incidence de l'âge du parc aérien sur la
progression de l'augmentation des coûts de maintenance (le
« rajustement tenant compte de l'âge du parc aérien »), à
défaut de quoi les parties soumettront de nouvelles propositions et
analyses aux arbitres sur cette question.
Des différends demeurent entre les parties en ce
qui a trait à l'interprétation et à l'application de la décision et
son incidence sur le taux de majoration des coûts contrôlables. Les
parties n'ont pas été en mesure de se mettre d'accord sur le calcul
de certains des rajustements ni sur le rajustement tenant compte de
l'âge du parc aérien.
Lors de
l'audition, Air Canada a indiqué qu'elle considérait qu'il ne
devrait y avoir aucun rajustement tenant compte de l'âge du parc
aérien, mais elle est maintenant d'avis qu'un rajustement tenant
compte de l'âge du parc aérien devrait être fait et qu'un tel
rajustement devrait être en sa faveur. Le rajustement tenant compte
de l'âge du parc aérien, tel que revendiqué par Air Canada, aurait
pour effet de réduire considérablement le taux de majoration des
coûts contrôlables, le faisant passer sous le taux de 11,41 %
qui, selon ce qu'invoque Air Canada, devrait normalement résulter
de l'application des autres rajustements.
Chorus demeure convaincue, étant donné l'âge
plus élevé de son parc aérien par rapport à celui des exploitants
comparables concernés, et conformément à sa position lors de
l'audience initiale, que tout rajustement tenant compte de l'âge du
parc aérien serait uniquement à l'avantage de Chorus et qu'ainsi,
peu importe la décision à l'égard de l'autre rajustement, le
rajustement tenant compte de l'âge du parc aérien devrait entraîner
le maintien du taux de majoration des coûts contrôlables à
12,50 % au moins jusqu'à la comparaison de 2015 et elle ne devrait pas être tenue de
rembourser des montants à Air Canada pour ce qui est de paiements effectués
depuis le 1er janvier 2010.
À la suite de la publication de la décision, les
parties avaient fixé une autre audition de l'arbitrage durant la
dernière semaine de novembre 2012 afin de régler les questions
litigieuses en suspens, notamment l'incidence du rajustement tenant
compte de l'âge du parc aérien. Cette audition a par la suite été
reportée jusqu'à la dernière semaine de janvier 2013, puis jusqu'à
la première semaine d'avril 2013 afin de donner aux parties un
délai supplémentaire pour faire valoir leurs arguments sur les
questions encore en litige.
Offre publique de rachat dans le cours normal des
activités
Chorus a également annoncé aujourd'hui qu'elle
entendait lancer une offre publique de rachat. Aux termes de
l'offre, qui est assujettie à l'acceptation de la Bourse de
Toronto
(la « TSX »), Chorus aura le droit d'acheter
aux fins d'annulation un maximum de 11 087 520 de ses
actions à droit de vote variable de catégorie A et/ou de ses
actions à droit de vote de catégorie B (collectivement,
les « actions »), représentant 10 % du
flottant des actions. Au 19 février 2013,
124 015 471 actions de Chorus étaient émises et en
circulation, dont 110 875 196 actions constituent le
flottant total des actions. Les achats aux termes de l'offre seront
effectués sur le marché libre par l'intermédiaire de la TSX,
conformément aux règles et aux politiques de la TSX. Chorus
projette de commencer l'offre vers le
28 février 2013 et de la
maintenir en vigueur pendant l'année qui suit la date à laquelle
les achats commencent. Les actions achetées par Chorus aux termes
de l'offre seront annulées. Chorus n'a acheté aucune action
ordinaire pendant la dernière année aux termes de quelque offre
publique de rachat que ce soit.
« Les administrateurs et la direction de
Chorus estiment que le cours des actions durant la période de
validité de l'offre pourrait faire en sorte que l'achat d'actions
par Chorus aux fins d'annulation serait dans l'intérêt de Chorus et
constituerait une utilisation appropriée des fonds de l'entreprise
à la lumière des bénéfices potentiels que les actionnaires restants
pourraient en tirer », a affirmé M. Randell.
Les états financiers consolidés audités de
Chorus Aviation Inc. pour les exercices clos le
31 décembre 2012 et le
31 décembre 2011 et le rapport
de gestion connexe sont accessibles à www.chorusaviation.ca et à
www.sedar.com. On peut aussi obtenir un exemplaire de ces documents
en écrivant au service des relations avec les investisseurs, à
investorsinfo@chorusaviation.ca, ou en composant le
902 873-5094.
Conférence téléphonique et diffusion Web
audio à l'intention des investisseurs
Chorus tiendra une conférence téléphonique à
9 h, HE, le jeudi 21 février 2013, afin d'analyser
ses résultats du quatrième trimestre et de l'exercice 2012. On peut
participer à la conférence en composant le
1 888 231-8191. La conférence sera diffusée simultanément
sur le Web, en mode audio à l'adresse :
http://www.newswire.ca/fr/webcast/detail/1097401/1195631 et elle
sera également accessible dans la section des relations avec les
investisseurs à www.chorusaviation.ca. Il s'agit d'une diffusion
Web en mode audio seulement. Le lecteur Media Player ou Real Player
est nécessaire pour écouter la diffusion audio; veuillez donc le
télécharger bien avant la conférence.
La conférence téléphonique diffusée sur le Web
sera archivée sur le site des relations avec les investisseurs de
Chorus, à l'adresse www.chorusaviation.ca. On pourra également
l'écouter en différé jusqu'à minuit, HE, le 28 février 2013,
en composant le 416 849-0833, ou le 1 855 859-2056
(sans frais), et en entrant le code d'accès 88335638, suivi de la
touche marquée d'un carré.
1 Mesures financières non
conformes aux PCGR
BAIIA
Le BAIIA (bénéfice avant intérêts, impôts, amortissements et
obsolescence) est une mesure financière non reconnue par les PCGR
qui est couramment utilisée dans tous les secteurs pour donner un
aperçu des résultats opérationnels avant les charges d'intérêts, le
produit d'intérêts, l'amortissement, les profits et pertes sur les
immobilisations et les autres produits et charges non
opérationnels. La direction est d'avis que le BAIIA aide les
investisseurs à comparer les résultats de Chorus sur une base
constante sans égard à l'amortissement qui est un élément hors
caisse et qui peut varier sensiblement selon les méthodes
comptables et les facteurs non opérationnels tels que le coût
historique. Le BAIIA ne devrait pas être utilisé comme mesure
exclusive des flux de trésorerie, car il ne tient pas compte de
l'incidence de la croissance du fonds de roulement, des dépenses en
immobilisations, du remboursement de la dette et d'autres entrées
et sorties de fonds, qui figurent dans l'état des flux de
trésorerie faisant partie des états financiers.
FLUX DE TRÉSORERIE DISPONIBLES
Avant la conversion en société par actions, l'encaisse distribuable
était un indicateur de rendement clé utilisé par la direction pour
évaluer le rendement actuel du Fonds de revenu Jazz Air.
L'encaisse distribuable n'est pas une mesure couramment utilisée
lorsqu'il est question d'une société ouverte. La direction croit
cependant que cette expression est bien connue de ses actionnaires
et publie des données sur les flux de trésorerie disponibles afin
de remplacer les renseignements auparavant communiqués au sujet de
l'encaisse distribuable. Les flux de trésorerie disponibles sont
calculés de la même façon que l'encaisse distribuable. Les flux de
trésorerie disponibles sont définis comme étant le BAIIA, moins les
charges non opérationnelles, les investissements de maintien pour
soutenir l'exploitation, ajusté en fonction des profits ou des
pertes de change latents sur la dette à long terme et les contrats
de location-financement ainsi que tout élément non opérationnel
ponctuel et inhabituel. Les autres dépenses en immobilisations
engagées pour faciliter la croissance de l'entreprise sont exclues
de ce calcul.
RÉSULTAT NET AJUSTÉ
Le résultat net ajusté et le résultat ajusté par action sont
calculés en ajustant le résultat net en fonction du montant des
profits et des pertes de change latents sur la dette à long terme
et les contrats de location-financement. Pour le quatrième
trimestre de 2012, Chorus a enregistré une perte de change latente
de 3,3 M$ sur la dette à long terme et sur les contrats de
location-financement. Sur une base annuelle, Chorus a enregistré un
profit de change latent de 5,6 M$ sur la dette à long terme et
sur les contrats de location-financement. Ces ajustements montrent
plus clairement le résultat d'un point de vue opérationnel.
Mise en garde concernant les énoncés
prospectifs
Le présent communiqué doit être lu parallèlement
aux états financiers consolidés audités de Chorus pour les
exercices terminés les 31 décembre 2012 et 2011, ainsi qu'au rapport de gestion daté
du 20 février 2013; ces documents ont été déposés auprès
des organismes canadiens de réglementation des valeurs mobilières
(on peut les consulter à l'adresse www.sedar.com).
Le présent communiqué peut comporter certaines
déclarations qui sont de nature prospective. Ces énoncés
prospectifs se reconnaissent à l'emploi de termes ou d'expressions
comme « prévoit », « croit »,
« pourrait », « estime », « s'attend
à », « a l'intention de », « peut »,
« planifie », « prédit »,
« projette », « devrait »,
« suppose » et autres, ce qui comprend les allusions aux
hypothèses. Ces énoncés peuvent, entre autres, porter sur des
observations concernant des stratégies, des attentes, des activités
planifiées ou des actions à venir.
Les énoncés prospectifs concernent des analyses
et d'autres informations qui sont fondées sur des prévisions de
résultats futurs, des estimations de montants ne pouvant être
établis dans l'immédiat et d'autres événements incertains. Par
nature, les énoncés prospectifs reposent sur des hypothèses, dont
celles décrites ci-dessous, et ils sont sujets à des risques et
incertitudes importants. Aucune prévision ou projection n'est donc
entièrement fiable en raison, notamment, de l'évolution des
circonstances externes et de l'incertitude générale qui caractérise
le secteur. Ces énoncés mettent en jeu des risques connus et
inconnus, des incertitudes et d'autres facteurs susceptibles de
faire différer sensiblement les résultats, le rendement ou les
réalisations réels de ceux qui sont exposés dans les énoncés
prospectifs. Les résultats présentés dans les énoncés prospectifs
peuvent différer sensiblement des résultats réels en raison de
divers facteurs, ce qui comprend, mais sans s'y limiter, les
risques liés aux relations de Jazz Aviation S.E.C. avec
Air Canada, les risques liés
au secteur du transport aérien, les prix de l'énergie, les
conditions du secteur, du marché, du crédit et de l'économie en
général, la concurrence, les questions et coûts d'assurances, les
questions d'approvisionnement, les conflits armés, les attentats
terroristes, les épidémies, les catastrophes naturelles, les
fluctuations de la demande dues au caractère saisonnier des
activités, la capacité de réduire les charges opérationnelles et
les effectifs, la capacité d'obtenir du financement, les relations
de travail, les négociations collectives ou les conflits de
travail, les restructurations, les enjeux en matière de retraite,
les taux de change et d'intérêt, les clauses restrictives en
matière d'emprunt et de restructuration liées aux dettes futures,
la dilution des actionnaires de Chorus, l'incertitude entourant les
versements de dividendes, la gestion de la croissance, l'évolution
de la législation, les faits nouveaux ou procédures réglementaires
défavorables de même que les litiges ou les poursuites en cours ou
futurs intentés par des tiers. Les énoncés prospectifs contenus
dans le présent document représentent les attentes de Chorus en
date du 20 février 2013 et
pourraient changer après cette date. Chorus décline toutefois toute
intention ou obligation d'actualiser ou de réviser ces énoncés
prospectifs à la lumière de nouveaux éléments d'information,
d'événements futurs ou pour quelque autre motif que ce soit, sauf
dans la mesure où les lois sur les valeurs mobilières applicables
l'exigent.
Chorus Aviation Inc.
Chorus Aviation Inc. (« Chorus »), qui
a été constituée en société le 27 septembre 2010, est une société de portefeuille versant des
dividendes. Elle est propriétaire de Jazz Aviation S.E.C.
et de Chorus Leasing III Inc.
Les titres de Chorus sont négociés à la Bourse
de Toronto sous les symboles
CHR.A, CHR.B et CHR.DB.
Pour en savoir plus, consultez
www.chorusaviation.ca.
Jazz Aviation S.E.C.
Jazz Aviation S.E.C. est bien
implantée dans l'industrie canadienne de l'aviation, ses origines
remontant aux années 1930. Jazz est la propriété exclusive de
Chorus Aviation Inc. et continue d'afficher des résultats
financiers et opérationnels qui figurent parmi les meilleurs du
secteur du transport aérien en Amérique du Nord.
Jazz Aviation S.E.C. exerce ses activités par
l'intermédiaire de deux divisions de transport aérien :
Air Canada Express et Jazz.
Air Canada Express : En vertu d'un contrat
d'achat de capacité conclu avec Air Canada, Jazz dessert des marchés à faible
trafic ainsi que des marchés à trafic élevé pendant les périodes
hors pointe dans tout le Canada et
certaines villes des États-Unis. Au quatrième trimestre de 2012,
Jazz a exploité pour Air Canada un service régulier de transport de
passagers qui prévoyait environ 779 départs chaque jour de la
semaine à destination de 82 villes du Canada et des États-Unis à l'aide d'un parc
aérien composé d'avions fabriqués au Canada par Bombardier.
Jazz : Sous la marque Jazz, la société
aérienne assure des vols nolisés à l'échelle de l'Amérique du Nord
au moyen d'un parc aérien composé de cinq appareils de Bombardier.
Ces services s'adressent aux entreprises, aux organismes
gouvernementaux, aux groupes d'intérêts particuliers et aux
personnes qui recherchent plus de commodité. Jazz peut aussi offrir
divers services aux exploitants de sociétés aériennes :
services au sol, régulation des vols, planification de la charge
marchande, formation et services-conseils.
Pour obtenir plus d'information, veuillez consulter le site
www.voljazz.ca.
SOURCE CHORUS AVIATION INC.